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Economie

Sur les marchés d’Abidjan : Tomates, piments… les prix de produits vivriers en baisse

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Sur les étals des marchés à Abidjan, au Sud du pays, le prix des légumes de grande consommation, notamment le piment, la tomate ou l’aubergine ne subissent pas d’augmentation. Un pic avait été observé, au niveau de certains produits vivriers, en début juin, mais actuellement on observe une embellie avec des baisses considérables. Malheureusement, cela n’est pas vu par certains Ivoiriens qui critiquent une augmentation des produits vivriers, notamment le piment dont un seul serait vendu à 50 francs CFA au marché. Lequel des marchés ? Il s’agit de quels piments ou de quelles tomates ?

Pour les marchés que nous avons sillonnés dans la capitale économique, un tas de piments sent bon, avec en moyenne 7 à 9 piments, coûte 100 francs. Le tas de piments ordinaires, si vous le prenez au kilogramme, coûte 1 200 francs, selon les informations du coût moyen du marché de la semaine du 30 juin au 7 juillet 2024, publiées sur le site internet du Conseil national de Lutte contre la vie chère (CNLVC).

Ce site indique également que le kilogramme du gombo est de 1 000 francs et pour l’aubergine 600 francs. Les prix de tous ces deux produits sont en baisse. Quant à la tomate de type salade et l’oignon blanc, après une hausse, ils connaissent un prix stable, respectivement à 800 francs et 700 francs le kilogramme sur le marché.

Pour les commerçantes de détail, ces différents prix peuvent connaître des modifications selon les besoin du client et la réalité du marché. « Les prix des produits vivriers que nous vendons en détail dépendent de la qualité, de la disponibilité et de la taille. Par exemple, pour les tomates, on a le premier choix, le deuxième et le troisième choix. Quand nous achetons le carton ou le panier, on fait des calculs en fonction du prix d’achat avant d’exposer en détail. Pour la tomate du premier choix, c’est la tomate de salade. On peut vendre 4 ou 5 tomates à 200 francs. Pour la sauce, on peut vendre le troisième choix au client. Forcément, ça sera moins cher. C’est pareil pour les autres produits », explique une commerçante du vivrier au marché Poulet de Koumassi.


Moussa I. Koné


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