Monsieur le rédacteur en chef,
Dans la dernière parution de votre magazine Jeune Afrique, datée du 2 au 8 Septembre 2018 et précisément dans la rubrique Contre-Pouvoir, vous affirmez et je cite :
« laurent Gbagbo a confirmé qu’il avait choisi le secrétaire général du FPi, Assoa Adou(amnistié le 6 août), pour diriger le parti, et non Simone Gbagbo, son épouse. L’ex chef de l’Etat avait déjà choisi Adou en 2014, quand ce dernier était rentré d’exil. Lors de leur entretien téléphonique, à la mi-août, Gbagbo lui a demandé de se réconcilier avec la branche dissidente du FPI, de Pascal Affi N’Guessan. Adou rendra visite à son mentor à la Haye. En attendant, il reçoit ses instructions par l’intermédiaire de Nadiana Bamba, la seconde femme de Gbagbo »
Permettez-moi de vous dire, Monsieur Le Rédacteur en Chef, que vous servez à vos lecteurs de gros mensonges et que ceux qui vous lisent encore, méritent un peu plus de respect et d’honnêteté de votre part.
Ce n’est pas la première fois que vous déversez sur mon compte des contrevérités, lesquelles s’apparentent à la méchanceté et à l’acharnement mais, j’espère que ce sera bien la dernière fois, que vous me choisirez pour être l’un des personnages de vos articles, tout droit sortis de votre imagination et de votre humour de mauvais goût.
Je me suis toujours gardée d’apporter des démentis à vos articles mensongers et tendancieux mais mon silence ne doit pas non plus constituer une approbation.
Je ne vous répondais pas parce que, j’estimais qu’au vu des fake News que vous publiez en général, j’allais être contrainte d’aller de démentis à démentis.
Mais, il y’a des moments de la vie, face à la méchanceté gratuite et à l’inconscience, il faut savoir surpasser sa propre nature et dire « Stop, ça suffit »
L’imaginaire est certes le dernier refuge de la liberté mais il ne devrait pas être celui de la désinformation.
Ce n’est pas la première fois que vous déversez sur mon compte des contrevérités, lesquelles s’apparentent à la méchanceté et à l’acharnement mais, j’espère que ce sera bien la dernière fois, que vous me choisirez pour être l’un des personnages de vos articles, tout droit sortis de votre imagination et de votre humour de mauvais goût.
Je me suis toujours gardée d’apporter des démentis à vos articles mensongers et tendancieux mais mon silence ne doit pas non plus constituer une approbation.
Je ne vous répondais pas parce que, j’estimais qu’au vu des fake News que vous publiez en général, j’allais être contrainte d’aller de démentis à démentis.
Mais, il y’a des moments de la vie, face à la méchanceté gratuite et à l’inconscience, il faut savoir surpasser sa propre nature et dire « Stop, ça suffit »
L’imaginaire est certes le dernier refuge de la liberté mais il ne devrait pas être celui de la désinformation.
-Stop, ça suffit parce qu’il y’a un moment pour dire stop!
Jeune-Afrique Magazine, Stop, ça suffit!
-Stop, ça suffit, parce que je souhaite que vous me teniez loin de vos manigances politiciennes et partisanes.
-Stop, ça suffit parce que je ne suis pas une femme politique mais malheureusement une femme en exil et qui entend poursuivre son exil dans la paix
-Stop, ça suffit parce que je ne vous donne pas le droit de me prendre pour un personnage de vos romans
-Stop, ça suffit parce que les ivoiriens ont besoin de panser leurs plaies , dans la dignité et dans la vérité
-Stop, ça suffit parce qu’il y’a un moment où vous devez arrêter de semer la zizanie entre les ivoiriens en général et entre les militants du Front Populaire ivoirien en particulier
Au passage, quand vous voudrez, à l’avenir, écrire un article sur une personne, prenez le soin de bien connaître son état civil.
Je vous signale que je ne me nomme pas Nadiana et que l’âge que vous avez tendance à m’attribuer, est erroné.
Je vous prierais de bien vouloir publier mon droit de réponse
Bien à vous.
Jeune-Afrique Magazine, Stop, ça suffit!
-Stop, ça suffit, parce que je souhaite que vous me teniez loin de vos manigances politiciennes et partisanes.
-Stop, ça suffit parce que je ne suis pas une femme politique mais malheureusement une femme en exil et qui entend poursuivre son exil dans la paix
-Stop, ça suffit parce que je ne vous donne pas le droit de me prendre pour un personnage de vos romans
-Stop, ça suffit parce que les ivoiriens ont besoin de panser leurs plaies , dans la dignité et dans la vérité
-Stop, ça suffit parce qu’il y’a un moment où vous devez arrêter de semer la zizanie entre les ivoiriens en général et entre les militants du Front Populaire ivoirien en particulier
Au passage, quand vous voudrez, à l’avenir, écrire un article sur une personne, prenez le soin de bien connaître son état civil.
Je vous signale que je ne me nomme pas Nadiana et que l’âge que vous avez tendance à m’attribuer, est erroné.
Je vous prierais de bien vouloir publier mon droit de réponse
Bien à vous.
N. Bamba
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M Loethier Makan. À croire vraiment que vous ne faites que rever de ma disparition totale de la terre. Pourquoi, en réaction à chacun de mes posts, tombez-vous aussitôt (et toujours) en hystérie et transe ensorcelée? Pourquoi vous donnez-vous le droit de parler, d'exprimer LIBREMENT vos opinions et exigez que Tiburce Koffi, lui, se taise? Pourquoi cette intolérance et ces outrances? Lebanco.net est une belle tribune d'expression démocratique. Vous êtes contents d'en jouir. Mais vous refusez ce droit élémentaire à Tiburce Koffi. Pourquoi? Vous avez le droit de ne pas être d'accord avec moi et de me porter la contradiction; mais demander que je me taise est, là, un comportement et une option effroyables, M. Mankan. Si un jour, Dieu nous offrait le malheur de faire de vous le chef de l'État de Côte d'Ivoire, les gens comme moi seraient sans doute exécutés ! Faites attention à vos discours publics, Monsieur. Évitez de répandre haine, hystérie primitive et autres vilains sentiments sur cet site qui nous offre un espace de partage citoyen d'opinions contradictoires. Je vous veux FRÈRE, M Mankan et non ennemi. M Loethier Makan. À croire vraiment que vous ne faites que rever de ma disparition totale de la terre. Pourquoi, en réaction à chacun de mes posts, tombez-vous aussitôt (et toujours) en hystérie et transe ensorcelée? Pourquoi vous donnez-vous le droit de parler, d'exprimer LIBREMENT vos opinions et exigez que Tiburce Koffi, lui, se taise? Pourquoi cette intolérance et ces outrances? Lebanco.net est une belle tribune d'expression démocratique. Vous êtes contents d'en jouir. Mais vous refusez ce droit élémentaire à Tiburce Koffi. Pourquoi? Vous avez le droit de ne pas être d'accord avec moi et de me porter la contradiction; mais demander que je me taise est, là, un comportement et une option effroyables, M. Mankan. Si un jour, Dieu nous offrait le malheur de faire de vous le chef de l'État de Côte d'Ivoire, les gens comme moi seraient sans doute exécutés ! Faites attention à vos discours publics, Monsieur. Évitez de répandre haine, hystérie primitive et autres vilains sentiments sur cet site qui nous offre un espace de partage citoyen d'opinions contradictoires. Je vous veux FRÈRE, M Mankan et non ennemi. Je partage totalement la réaction de KOFFI TIBURCE. Je la trouve très appropriée à la sortie Nady Bamba, qui, en réalité, n'a rien dit ! Mme, je ne crois pas que c'etait necessaire de prendre ce juteux appat que vous a tendu JA. Ya belle lurette que que vous etes dans votre coin, retiree, privee, derriere un bouclier... Pourquoi c'est maintenant vous levez la voile? Vous etes un personage publique et sachez que, bon gre ou mal gre, vous serez a la une,accusee de ceci et ou de cela. Xa vient avec le territoire. Vous etes journaliste et savez les coins et recoins du metier. Je crois que ce serait honorer et encourager Jeune A Fric a vendre plus de copies en voulant vous defendre. Au fond, est ce que vous lui devez une explication? A+ S'il y a quelqu'un qui devrait bien se taire parce qu'il n'a vraiment rien à dire c'est bien Mr Tiburce qui n'apporte rien à cette mise au point de la dame. Dans l'esprit de sa sortie, il est bien clair qu'elle dément le rôle que J.A lui attribue. C'est plutôt J.A qui devrait se soucier de la confondre en publiant des preuves et en citant des témoins. Sinon la mesquinerie est clairement dévoilée. Et de mesquineries J.A en a bien éparpillées depuis toujours. Et puis en quoi la Bamba est-elle un personnage public? Vous aussi vous devriez vous soucier de jouer un rôle public plus positif et louable dans cette phase de l'histoire du pays. Ces volets que J.A veut agrandir sont accessoires et la dame Bamba a raison de dire que les ivoiriens veulent soigner leurs plaies dans la paix. Elle aussi en a besoin et être la compagne de Gbagbo ne lui confère aucun rôle institutionnel. Je ne comprends vraiment pas le sens de cette sortie. Mme Bamba n'éclaire en rien l'opinion. Dire "STOP à Jeune Afrique" est-il la preuve que ce qu'a écrit ce journal à son endroit et à propos du Fpi" est faux ? Elle affirme elle-même que porter un démenti à Jeune Afrique ne servirait à rien. Mais se contenter aussi de dire STOP servirait-il à quoi ? A mon avis, il eût valu mieux se taire que de parler au tiers en ne disant rien d'insructif. Un personnage public ne doit pas s'étonner ni se plaindre de ce qu'un journal rende publics des aspects de sa vie. Il appartient donc à Mme Bamba de veiller à rectifier, au besoin, les informations erronées à son endroit si elle estime que cela lui porte préjudice. À ce stade de sa vie, elle est supposée avoir au moins un préposé à la Communication pour construire ou protéger son image publique. On ne peut pas être épouse ou compagne ou même amie très intime d'un chef d'État de l'envergure d'un Laurent Gbagbo et croire qu'on échappera aux regards des medias.
Publié le :
9 juin 2018Par:
Lothiers MACKAN