Les altercations entre des militaires du 3ème Bataillon d’infanterie militaire de Bouaké et des éléments du Centre de Coordination des Décisions Opérationnelles (CCDO) depuis le vendredi 5 janvier 2017, ont abouti à une affrontement armé entre les deux forces, ce mardi, aux environs de 21 heures.
Selon ses témoins joints par téléphone à Bouaké des militaires auraient attaqué à l’arme lourde le camp du CCDO basé dans le quartier Sokoura non loin du 3ème Bataillon, à la gare de M’Bahiakro.
Au niveau des populations riveraines du CCDO, les populations dans la psychose ont même commencé à déguerpir le quartier. Selon des soldats, c’est parce qu’ils ont eu vent de ce que les éléments du CCDO s’apprêtaient à les attaquer qu’ils ont aussitôt pris l’initiative de les devancer. Pour ce faire, ces soldats auraient pris possession de la poudrière du camp d’où ils sont partis avec des armes lourdes pour attaquer les éléments du CCDO.
Dans leur revendication, ces soldats ont exigé le départ du CCDO de la ville de Bouaké, le payement de primes de missions, des avancements dans les grades et surtout le payement de 12 millions de FCFA dû à certains d’entre-deux.
Selon une source sécuritaire qui a requis l’anonymat, l’on ne dispose d’aucun bilan des affrontements pour l’heure.
Notons qu’après l’altercation de vendredi, le ministère de la Défense avait annoncé dans un communiqué avoir diligenté une enquête concernant les événements de Bouaké.
Ben Salia
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eh bouaké quand est-ce que cette ville va se retrouver? n'importe quoi sur notre belle commune qui est devenu un dépotoir n'importe qui se lèvent fais ce qu'ils veulent et personne ne réagi je me demande ou allons nous dans ce pays que dieu nous protège ma propre ville je peux plus mettre pieds a cause de l'insecurité c'est honteux pour ce pouvoir en place qui ne fais que mettre du désordre au de l'odre Qu'attend on pour radier tous ces éléments qui font n'importe quoi sans ordre formel et réformer une chaîne de commandement qui, visiblement, ne fonctionne pas ? Qui est le vrai patron des armées en côte d'ivoire ? Quand est-ce que Bouaké, une des villes martyres de la Côte d’Ivoire va-t-elle connaître sa quiétude et sa belle ambiance d’antan chantées par l’OFI (Orchestre de la Fraternité Ivoirienne dirigé par le fameux Louis Pierre) ? Ces énièmes coups de feu et rodéos stupides des faux militaires à travers la ville de Bouaké ne sont pas du tout faits pour attirer les investisseurs et bailleurs de fond dans notre cher pays. Pour des raisons propres à eux-mêmes, les soudards du 3ème bataillon ont décidé de prendre en otage la ville de Bouaké en causant encore des traumatismes avec des coup de feu tirés depuis 19h jusqu’au petit matin. Face à cette situation de terrorisme, le gouvernement doit faire face avec beaucoup de détermination face à ces séries de coups de feu en l’air. Il faudrait procéder carrément au désarmement complet de ce camp du 3ème bataillon, et ensuite procéder à sa fermeture totale en démobilisant la grande partie de son effectif qui est constitué d’anciens rebelles sans foi ni loi. Le reste des soldats qui ont le sens du respect et de la déontologie militaire pourrait être affecté dans différents camps militaires à travers le pays. En résumé, pour la sauvegarde de notre cher pays, il faudrait démanteler à tous les prix le kyste de noyaux durs de soldats ex-rebelles spécialistes des mutineries et autres rébellions basés au 3ème bataillon d’infanterie de Bouaké. Merci. Nos soldats ivoiriens depuis Bouaké ont repris ce qu'ils savent faire de mieux, à savoir la désobéissance et l'indiscipline. La nuit du jeudi 4 janvier à vendredi 5 janvier 2018, n'a pas été de tout repos pour les habitants de Bouaké et nos soldats indisciplinés ont recommencé le samedi 6 janvier 2018 et le mardi 9 janvier 2018. Le malaise persiste toujours entre différentes unités de l'armée ivoirienne qui se regardent en chiens de faïence. Nous avons une armée écartelée entre des obédiences politiques. En effet, l'armée ivoirienne est encore catégorisée en militaires pro-Gbagbo, pro-Ouattara, pro-Soro, il y a aussi les soldats de Chérif Ousmane, les gars de Wattao etc... Comment alors ramener la cohésion entre toutes ces bandes et factions ? En tous cas, ce ne sont pas les proclamations actuelles d'Hamed Bakayoko ou du CEMA, qui ne servent que la cause de la propagande politique et de la mystification, qui vont unifier et discipliner l'armée ivoirienne. Comme disent les humoristes ivoiriens, l'ancienne arnaque, c'était monheveas.com avec des rendements bas, en comparaison avec la nouvelle arnaque qui est monfusil.com, avec des rendements bien supérieurs d 12 millions par sinistre indvidu après quellques coups de fusils...Bouaké est ainsi prise en otage par ces voyous, ainsi que toute la CI... Quand est-ce que Bouaké, une des villes martyres de la Côte d’Ivoire va-t-elle connaître sa quiétude et sa belle ambiance d’antan chantées par l’OFI (Orchestre de la Fraternité Ivoirienne dirigé par le fameux Louis Pierre) ? Ces énièmes coups de feu et rodéos stupides des faux militaires à travers la ville de Bouaké ne sont pas du tout faits pour attirer les investisseurs et bailleurs de fond dans notre cher pays. Pour des raisons propres à eux-mêmes, les soudards du 3ème bataillon ont décidé de prendre en otage la ville de Bouaké en causant encore des traumatismes avec des coup de feu tirés depuis 19h jusqu’au petit matin. Face à cette situation de terrorisme, le gouvernement doit faire face avec beaucoup de détermination face à ces séries de coups de feu en l’air. Il faudrait procéder carrément au désarmement complet de ce camp du 3ème bataillon, et ensuite procéder à sa fermeture totale en démobilisant la grande partie de son effectif qui est constitué d’anciens rebelles sans foi ni loi. Le reste des soldats qui ont le sens du respect et de la déontologie militaire pourrait être affecté dans différents camps militaires à travers le pays. En résumé, pour la sauvegarde de notre cher pays, il faudrait démanteler à tous les prix le kyste de noyaux durs de soldats ex-rebelles spécialistes des mutineries et autres rébellions basés au 3ème bataillon d’infanterie de Bouaké. Merci.
Publié le :
1 octobre 2018Par:
yao kouassi yao