Selon les informations fournies par les autorités en charge du dossier, il y retenait six jeunes filles, toutes de nationalité chinoise, contraintes de se livrer à la prostitution. Ces jeunes femmes dont l’âge varie de 24 à 38 ans se sont retrouvées à Abidjan à l’invitation de ce compatriote, lui-même, résident à Abidjan.
Celui-ci leur aurait promis un emploi et de meilleures conditions de vie. Une fois sur le sol ivoirien, le rêve vire au cauchemar. L’emploi promis n’est autre que la prostitution.
Elles y opposent un refus catégorique. Ces jeunes dames vont alors subir la colère de leur compatriote qui ne manque pas de rouer de coups certaines d’entre elles.
Leurs passeports seront également confisqués. Fort heureusement, ce dernier a finalement été interpellé par les forces de police et il fait actuellement objet d’une enquête.
Par ailleurs, le Pr Mariatou Koné, ministre de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité, alertée, s’est rendue le même jour à la préfecture de police d’Abidjan où ces jeunes femmes ont été amenées pour leur porter assistance.
« Laissons la police poursuivre son enquête afin d’éclaircir cette affaire. Mais, ces jeunes dames dont la sécurité peut être menacée seront prises en charge et resteront, pour le moment, sous la protection du ministère », a-t-elle indiqué après.
Théodore Sinzé
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Faut pas retirer les produits avant consommables avant leur d'expiratinon. Kpetou chinois est doux C'est où là? Je veux aller tirer un coup avec un bloufouè! Les chinoises cassent le prix du sexe. Partout en Afrique, elles sont moins chères, selon un ami policier avec qui je m'entraine au Judo et Ju-Jitsu. Depuis une dizaine d’années, des prostituées européennes de l'Est, des marocaines et Tunisiennes et des asiatiques ont fait leur apparition sur le continent africain. Notamment des Chinoises, accusées de casser les prix. Souvent décriée pour embaucher exclusivement ses expatriés sur ses chantiers africains, la Chine semble avoir poussé cet entre-soi encore plus loin. Depuis une dizaine d’années – ce qui coïncide avec l’arrivée massive de milliers d’ouvriers chinois -, de nombreuses professionnelles du sexe venant de l’empire du Milieu ont fait leur apparition dans les principales capitales du continent. Ces jeunes chinoises arrivent le plus souvent par groupes de cinq à vingt, sans se fixer dans un pays en particulier. Mobiles, les "putes" chinoises se déplacent au gré des contrats juteux remportés par les entreprises multinationals Chinoises. « Depuis quelque temps, les Chinoises installées au Cameroun migrent vers la Guinée équatoriale pour y trouver des compatriotes, mais aussi des expatriés d’autres nationalités » et ce n'est pas étonnant de les retrouver maintenant en CI, vu que les entreprises Chinoises ont obtenu des contrats juteux en CI... La nationalité nigériane est parmi la plus représentée parmi les putes, suivie par les nationalités guinéenne, Ghanéenees, Ivoiriennes, camerounaises, sénégalaises, sierra-léonaise, russes/ukrainiennes, tunisiennes et marocaines. Les femmes du royaume chérifien, très prisées, proposent les tarifs les plus élevés de la capitale. Si une partie des Nigérianes émigrent pour se prostituer en toute conscience, d’autres sont abusées par la promesse d’un travail dans la coiffure ou la restauration… avant d’être contraintes à la prostitution. Les putes les plus recherchées sont blanches, arabes ou chinoises et donc "exotiques" pour les clients... Les «beautés de Shanghaï», ces prostituées qui ont suivi en masse la vague d'immigration des travailleurs chinois en Afrique provoquent la colère des péripatéticiennes locales. Leur exotisme leur assure un tel succès qu'elles n'envisagent pas partir. Il parait que la déferlante de prostituées chinoises provoque la colère des prostituées locales, partout en Afrique, mais surtout au Cameroun.
Publié le :
8 mars 2017Par:
Hend Taoufik