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Cameroun: la prostitution des Camerounaises se sophistique en France

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Le Cameroun vit une réalité à la fois ancienne et nouvelle sous d’autres cieux, grâce à la sophistication que les amateurs de sexe veulent faire de la prostitution. La prostitution est en passe de s’imposer dans certains milieux camerounais de France, comme étant le métier le plus pratiqué de la diaspora.
Les Camerounaises en France qui pratiquent le plus vieux métier du monde, à savoir la prostitution, ont choisi des méthodes sophistiquées pour désormais tirer plus de profit de leur amour vénal. Entre les réseaux sociaux et autres moyens numériques de communication, elles n’hésitent pas à tourner des vidéos expressives et suggestives, suivies par des milliers d’internautes.
L’onomastique pervers qui se dégage de leur agenda, mentionne des codes à bien maîtriser pour se les procurer. Par exemple, les pseudonymes comme « Coco », « Virus », « PDG », « Compressor », « Veuve joyeuse », « La pimenterie » encore appelée les « vendeuses de piment », ou les « pimentières »….indiquent l’intensité du plaisir qui sera servi, mais en même temps de quelle extase tressaillira celui qui sera compressé par « Compressor » ou mort de jouissance par « Virus » ou encore plumé et ramené au bercail sans sou par « PDG »!
Une immoralité qui renverse les valeurs et les titres, est fortement inscrite dans cette onomastique. L’objectif pour chacune de ces prostituées, est de paraître « heureuse » de montrer sa réussite. Son mode de vie en France. D’étaler ses richesses, qui se comptent en milliers d’euros: « Certaines de ces prostituées parviennent à gagner jusqu’à 5000 euros par semaine. De l’argent qui n’a aucune traçabilité et donc est non taxé. De quoi faire des émules », confie l’une d’entre elles, résidant à Lille et ayant fortement requis l’anonymat.
A visage découvert, les prostituées camerounaises ont décidé d’assumer leur choix. Pour elles, la misère est trop cruelle, et donc si la prospérité ne peut venir à elles que si elles posent nues et à visage découvert, sans aucune forme protocolaire, elles sont prêtes à se lancer dans un tel défi.
Dans les familles pauvres, elles sont même érigées en modèles et citées en exemple par les plus jeunes sans repères qui les trouvent « Swagg ». Elles exhibent leurs immeubles comme étant le fruit de la « pimenterie ».
Conséquence, les jeunes sans avenir dans un pays où le chômage a atteint les pics, rêvent de construire plusieurs villas en copiant l’exemple de leurs modèles.
 

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