Dans cet entretien M. Tia Lingue enseignant chercheur, au génie électrique à l’institut national Polytechnique Félix Houphouët Boigny, affirme avoir trouvé la thérapie idéale au mal qui ronge depuis des décennies, des athlètes africains et leurs équipes nationale, après 22 ans de recherche (1986-2008).
Vous parliez tantôt de vos recherches et d'une découverte . De quoi s'agit-il ?
Au départ ma recherche portait sur l’amélioration des performances intellectuelles, des étudiants et autres personnes. Dans les années 2008 , il s’est trouvé que la même recherche pouvait améliorer la performance des sportifs, des gens qui voudraient parler devant le public, car notre découverte et notre méthode permettent d’éviter le stress et beaucoup d’autres situations. On a appelé cela le NEVERACTIVATION.
Pourquoi, c’est maintenant que vous vous dévoilez au grand public votre recherche ?
Nous avons cru utile d’informer maintenant le public et éventuellement ceux qui ont besoin de recourir à nos services, parce qu’il fallait d'abord être sûr des résultats sur une longue durée. On a commencé en 1986, on ne savait pas quelle sera l’issue. On savait seulement ce que nous voulions. Depuis 1986 c’est à partir de 2008 que nous avons commencé à avoir des résultats palpables. C’est comme cela que nous avons commencé à aider quelques personnes à l’étranger. Dans la recherche actuelle on classe par psychologie, électricité, ou mécanique etc. Ce que je fais intéresse l’électricité ma spécialité, mais aussi le côté physique et biologique. Comment faire pour ne pas trembler, au moment où il ne faut pas.
Quel est concrètement votre domaine d’intervention ?
Le milieu sportif et scolaire surtout. Depuis longtemps que nous sommes là, la coupe du monde n’a jamais été remportée par un pays africain. C’est particulièrement dans ce domaine que j’interviens parce que ça intéresse les jeunes qui pratiquent beaucoup le sport. Les africains sont les plus talentueux en matière de sport. Mais pourquoi, on n’a pas la coupe du monde ? Pourquoi, nous ne sommes pas les mieux lotis au plan mondial ? Nous sommes disposés à aider les équipes nationales africaines.
Quelles sont vos solutions, pour permettre aux éléphants, par exemple, de remporter pour la première fois la coupe du monde ?
Les solutions que je préconise ? D’abord nous africains, nous devons avoir nos entraîneurs, venant de notre continent. Ça c’est une opinion. Mais de façon plus concrète, au moment des grands évènements, nous voulons prendre les athlètes pour les aider à surmonter les difficultés liées aux organisations. C’est du coté mental et physique que ça se passe , et non pas du coté financier ou autres choses. Les quelques conditions que nous pensons nécessaires, c’est au moins deux mois avant la compétition, que ceux qui veulent nous consulter , le fassent . Nous allons prescrire ce qu’il faut faire. Ce n’est pas quelque chose d’extraordinaire. Il s'agit entre autre de la pratique de 2 mn d'exercice que je peux indiquer aux personnes intéressées, 2mn matin et 2mn le soir. Au bout de quatre semaines, les individus, sentent qu’il ya une amélioration et peuvent se présenter devant ces grands évènements tout à fait relaxes et capables de donner le meilleur d’eux mêmes. Et non pas ce qui nous a été donné de voir jusque là. Quand l’énergie tant à manquer, on commet beaucoup d’erreurs. On devient nerveux, et beaucoup de choses peuvent se passer. Je pense que les problèmes financiers dont on parle assez, émanent souvent du fait que les gens se disent, à quoi bon de participer à un tel évènement ? Pour eux, il faut détourner les fonds des athlètes , puisque de toutes les façons, ils se disent qu'il n' y auara pas de résultat positif. Ce que nous préconisons, ce n’est pas des solutions magiques, mais des solutions scientifiques. Si on s'occupe des équipes nationales, les gens vont tester, ce qu’ils ont eu bien avant les évènements. Ça permettra à la jeunesse de ne pas aller de l’autre côté, pour périr dans la mer. Si les gens se rendent compte que, il ya de la valeur chez eux, qu’ils (les athlètes) sont capables de faire certaines choses, ils resteront pour chercher les solutions à leurs problèmes.
Avez-vous déjà expérimenté le fruit de vos recherches sur des équipes ?
Quand on parle de recherche, c’est d’abord théorique. Quand vous avez mis au point , pour vous convaincre vous-mêmes que ça marche, vous essayez avec des gens. Évidemment dans le cadre de l’enseignement, nous avons essayé avec des étudiants de notre institut et ceux de l’université Houphouët Boigny de Cocody. C’est même fort de cela, que nous avons eu à proposer à la fédération ivoirienne de football (FIF) nos services. Les dirigeants n’ont pas encore répondu ; cela est dû certainement à leurs contraintes. Nous ne pouvons rien pour ça. Nous ne nous limitons pas seulement en Côte d’Ivoire. N’importe quel pays africain qui nous sollicite, nous sommes prêts à l'aider . Les pays comme le Nigéria, le Cameroun et l'Égypte , pouvaient une fois au moins remporter la coupe du monde ! Il y'a aussi d’autres retombées de notre recherche. Par exemple un malade peut corriger sa vision sans médicament. Il ya des personnes à l’INP-HB qui peuvent témoigner. Le corps est dominé par le nerf. À travers les exercices, l’homme est capable d'avoir la maîtrise de son corps.
Vous affirmez donc que par la recherche scientifique, l’Afrique peut remporter la coupe du monde....
Oui ! Par la recherche scientifique, l’Afrique peut remporter la Coupe du monde. C’est ce que j’affirme et je suis positif la dedans. Nous avons déjà essayé avec nos gens. Les performances qu’ils ont données nous édifient. Dans un premier temps, nous ne demanderons pas à ce que les fédérations, ou autres nous payent. C’est au travail qu’ils nous jugeront. Je suis bilingue. Je peux donc travailler en anglais dans les pays anglophones. Nous nous intéressons à l’Afrique. Si un seul pays africain est prospère, c’est tout le monde qui va venir. Et si tout le monde prospère à la fois, c’est tout le monde qui bénéficie. Nous souhaitons que toute l’Afrique, se mette débout.
Par Diallo Harry
Au départ ma recherche portait sur l’amélioration des performances intellectuelles, des étudiants et autres personnes. Dans les années 2008 , il s’est trouvé que la même recherche pouvait améliorer la performance des sportifs, des gens qui voudraient parler devant le public, car notre découverte et notre méthode permettent d’éviter le stress et beaucoup d’autres situations. On a appelé cela le NEVERACTIVATION.
Pourquoi, c’est maintenant que vous vous dévoilez au grand public votre recherche ?
Nous avons cru utile d’informer maintenant le public et éventuellement ceux qui ont besoin de recourir à nos services, parce qu’il fallait d'abord être sûr des résultats sur une longue durée. On a commencé en 1986, on ne savait pas quelle sera l’issue. On savait seulement ce que nous voulions. Depuis 1986 c’est à partir de 2008 que nous avons commencé à avoir des résultats palpables. C’est comme cela que nous avons commencé à aider quelques personnes à l’étranger. Dans la recherche actuelle on classe par psychologie, électricité, ou mécanique etc. Ce que je fais intéresse l’électricité ma spécialité, mais aussi le côté physique et biologique. Comment faire pour ne pas trembler, au moment où il ne faut pas.
Quel est concrètement votre domaine d’intervention ?
Le milieu sportif et scolaire surtout. Depuis longtemps que nous sommes là, la coupe du monde n’a jamais été remportée par un pays africain. C’est particulièrement dans ce domaine que j’interviens parce que ça intéresse les jeunes qui pratiquent beaucoup le sport. Les africains sont les plus talentueux en matière de sport. Mais pourquoi, on n’a pas la coupe du monde ? Pourquoi, nous ne sommes pas les mieux lotis au plan mondial ? Nous sommes disposés à aider les équipes nationales africaines.
Quelles sont vos solutions, pour permettre aux éléphants, par exemple, de remporter pour la première fois la coupe du monde ?
Les solutions que je préconise ? D’abord nous africains, nous devons avoir nos entraîneurs, venant de notre continent. Ça c’est une opinion. Mais de façon plus concrète, au moment des grands évènements, nous voulons prendre les athlètes pour les aider à surmonter les difficultés liées aux organisations. C’est du coté mental et physique que ça se passe , et non pas du coté financier ou autres choses. Les quelques conditions que nous pensons nécessaires, c’est au moins deux mois avant la compétition, que ceux qui veulent nous consulter , le fassent . Nous allons prescrire ce qu’il faut faire. Ce n’est pas quelque chose d’extraordinaire. Il s'agit entre autre de la pratique de 2 mn d'exercice que je peux indiquer aux personnes intéressées, 2mn matin et 2mn le soir. Au bout de quatre semaines, les individus, sentent qu’il ya une amélioration et peuvent se présenter devant ces grands évènements tout à fait relaxes et capables de donner le meilleur d’eux mêmes. Et non pas ce qui nous a été donné de voir jusque là. Quand l’énergie tant à manquer, on commet beaucoup d’erreurs. On devient nerveux, et beaucoup de choses peuvent se passer. Je pense que les problèmes financiers dont on parle assez, émanent souvent du fait que les gens se disent, à quoi bon de participer à un tel évènement ? Pour eux, il faut détourner les fonds des athlètes , puisque de toutes les façons, ils se disent qu'il n' y auara pas de résultat positif. Ce que nous préconisons, ce n’est pas des solutions magiques, mais des solutions scientifiques. Si on s'occupe des équipes nationales, les gens vont tester, ce qu’ils ont eu bien avant les évènements. Ça permettra à la jeunesse de ne pas aller de l’autre côté, pour périr dans la mer. Si les gens se rendent compte que, il ya de la valeur chez eux, qu’ils (les athlètes) sont capables de faire certaines choses, ils resteront pour chercher les solutions à leurs problèmes.
Avez-vous déjà expérimenté le fruit de vos recherches sur des équipes ?
Quand on parle de recherche, c’est d’abord théorique. Quand vous avez mis au point , pour vous convaincre vous-mêmes que ça marche, vous essayez avec des gens. Évidemment dans le cadre de l’enseignement, nous avons essayé avec des étudiants de notre institut et ceux de l’université Houphouët Boigny de Cocody. C’est même fort de cela, que nous avons eu à proposer à la fédération ivoirienne de football (FIF) nos services. Les dirigeants n’ont pas encore répondu ; cela est dû certainement à leurs contraintes. Nous ne pouvons rien pour ça. Nous ne nous limitons pas seulement en Côte d’Ivoire. N’importe quel pays africain qui nous sollicite, nous sommes prêts à l'aider . Les pays comme le Nigéria, le Cameroun et l'Égypte , pouvaient une fois au moins remporter la coupe du monde ! Il y'a aussi d’autres retombées de notre recherche. Par exemple un malade peut corriger sa vision sans médicament. Il ya des personnes à l’INP-HB qui peuvent témoigner. Le corps est dominé par le nerf. À travers les exercices, l’homme est capable d'avoir la maîtrise de son corps.
Vous affirmez donc que par la recherche scientifique, l’Afrique peut remporter la coupe du monde....
Oui ! Par la recherche scientifique, l’Afrique peut remporter la Coupe du monde. C’est ce que j’affirme et je suis positif la dedans. Nous avons déjà essayé avec nos gens. Les performances qu’ils ont données nous édifient. Dans un premier temps, nous ne demanderons pas à ce que les fédérations, ou autres nous payent. C’est au travail qu’ils nous jugeront. Je suis bilingue. Je peux donc travailler en anglais dans les pays anglophones. Nous nous intéressons à l’Afrique. Si un seul pays africain est prospère, c’est tout le monde qui va venir. Et si tout le monde prospère à la fois, c’est tout le monde qui bénéficie. Nous souhaitons que toute l’Afrique, se mette débout.
Par Diallo Harry
