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COMMENTAIRES
Publié le :
8 juin 2018Par:
Forestier de Lahou"Qu'adviendra-t-il si nous sommes amenés à importer le gaz oil et l'essence?" eh bien peut-être que les véhicules feront moins de fumée noire !Publié le :
8 juin 2018Par:
Lago Tape3/3 Ces plateformes intégrées, qui créent une convergence avec les activités pétrochimiques, offrent d’autres débouchés aux produits pétroliers, notamment en produisant des matières plastiques, et permettent au raffineur de profiter de la marge dans les deux types d’industrie. C’est ce saut vers la pétrochimie que les raffineries africaines telles que la SIR n’arrivent pas à réaliser. Leurs installations demeurent de facture très simple, de type hydroskimming : elles sont seulement capables de transformer le pétrole en essence ou en fioul et permettent rarement de sortir des produits à forte valeur ajoutée ou de valoriser des produits lourds en produits légers. Bref, elles produisent trop de lourd et pas assez de léger… Bref, augmenter les taxes sur les produits pétroliers, ce n'est pas cela qui va résoudre les problèmes de la SIR... « Sur 100 tonnes de brut, une raffinerie africaine sort 60 % de produits blancs [essence, kérosène, butane], 35 % de fioul et 5 % de déchets, quand une raffinerie sophistiquée parvient à produire 80 % de produits blancs, lesquels se vendent beaucoup plus cher que le fioul. Plus une raffinerie transforme de blanc, plus elle devient rentable, et c'est ce vers quoi doit tendre la SIR si elle veut "survivre"Publié le :
8 juin 2018Par:
Lago Tape(Suite): Cette situation globale affaiblit considérablement l’or noir africain sur son propre terrain. « On voit arriver sur les côtes du continent des produits finis d’Asie et du Golfe, expédiés à très bas coûts »...La faute en revient principalement à la petite taille et aux capacités insuffisantes de ces unités de production. « Nées dans les années 1960 dans le sillage des indépendances, la Société africaine de raffinage [SAR, au Sénégal] ou la Société ivoirienne de raffinage [SIR], maintenant vieillissantes, étaient adaptées à de petits marchés et à de faibles besoins ». Si la plus grande raffinerie du continent, à Skikda, en Algérie, traite 323 000 b/j, ce ne sont qu’entre 20 000 et 50 000 b/j qui sont produits en moyenne dans chaque raffinerie subsaharienne. Soit 35 fois moins que la plus grosse raffinerie du monde, celle de Jamnagar, en Inde, qui traite jusqu’à 1,2 million de b/j (pour un marché certes plus important), tandis que la raffinerie géante de Jubail, en Arabie saoudite, peut voir passer 400 000 b/j. Plus performantes, ces dernières bénéficient d’intrants moins coûteux en s’approvisionnant au plus près des lieux de production du brut. « Une raffinerie idéale, aujourd’hui, ferait au moins 20 millions de barils par an et serait située à proximité immédiate d’un champ de production et d’un centre de consommation »Dans un contexte international qui tend plutôt à la rationalisation (Total prévoyait l’année dernière la fermeture de 20 à 30 raffineries, d’ici à 2035, sur les 79 existantes en Europe), difficile pour l’Afrique de riposter. « La tendance actuelle dans le monde est à la réduction du nombre de raffineries et à une augmentation des capacités de raffinage : c’est-à-dire à des sites de plus en plus gros et à des plateformes intégrées qui permettent des économies d’échelle »...Publié le :
8 juin 2018Par:
Lago TapeASK a raison. La surtaxation des produits pétroliers pour financer entre autres le FER ( fonds d'entretien Routier) entre autres alors que nos routes ne sont pas si bien entretenues que cela..., n'est pas la panacée, pour résoudre le problème du surendettement chronique de la SIR, ainsi que celui de la mauvaise gestion de la SIR. Alors que l’Afrique regorge de pétrole – plus de 8 millions de barils extraits chaque jour en 2015, soit 9,1 % de la production mondiale –, elle en raffine trop peu : moins de la moitié. Et ses capacités installées, qui s’établissent à 3,6 millions de barils par jour (b/j), ne sont utilisées qu’à 60 % ; un taux, parmi les plus bas du monde, dû à un manque de maintenance et d’investissements, à l’origine de nombreuses pannes et d’arrêts imprévus. Un faible niveau de production Mais, même en imaginant qu’elles puissent tourner à plein régime, les raffineries africaines seraient encore bien loin de répondre à une demande continentale qui s’établit à 3,8 millions de b/j, d’après les données publiées en juin 2016 par la BP Statistical Review of World Energy.Publié le :
8 juin 2018Par:
simpleKonan Bernard, Monsieur André Silver Konan n'a fait que prendre les éléments en possession de tous. Il n'a rien crée. Il a travaillé sur un angle vous parler sous un autre angle qui n'a rien avoir avec les faits. le métier de journaliste d'investigation va au fait et c'est très délicat. Éclairer nous avec les éléments à votre possession et les choses iront vite. Je confirme que la SIR depuis des lustres n'est que de la gestion opaque. C'est une vache à lait. On déshabille Paul et on habille pierre. Du Bordel qui est fait sciemment et qu'aucun pouvoir ne veut corriger depuis des lustres. Comme le RDR est trop gourmand, c'est pourquoi on constate un désordre au niveau des prêts pour redressez deux fois la même chose dans la même année.C'est le citoyen qui paye toujours la facture au final. C'est le cri d'ASK. Halte donc à la polémiquePLUS D'ARTICLES
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Publié le :
8 juillet 2018Par:
Brou